Sweet Sixteen

Publié le par Tarass Boulba

Dimanche soir, j'étais atterré par le film les ailes de l'enfer proposé par la chaine TF1. Hier soir j'ai changé mon fusil d'épaule et j'ai regardé Sweet Sixteen de K LOACH. Après ce visionage, j'étais remué. Tous les films de K LOACH en sont pas aussi noirs, aussi désepérés. Liam se perd complètement pour sauver sa mère, c'est de l'amour absolu, autodestructeur, irréversible, aliénant. Il devient l'exécutant aveugle d'une volonté qui le dépasse. Il va voler, dealer, perdre son ami, sa soeur, tuer. Perdre tout dans la quête stérile d'une idéal inaccessible. Après cela Bukowski pour s'endormir avec sa machine à baiser, ses bières, ses courses, sa belle noirceur. Après la nuit. Après le quai de gare du nord direction le sud, 9h du matin :

Publié dans Instants

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